Lettre ouverte parue dans Le Devoir
Présent au conseil national de l'ADQ, j'ai pu y entendre les discours des trois aspirants à la direction. Un Éric Caire qui ne parle pas anglais pendant son discours, suivi d'un Christian Lévesque prudent et d'un Gilles Taillon aguerri aux discours publics. Le tout m'a laissé songeur.
Présent au conseil national de l'ADQ, j'ai pu y entendre les discours des trois aspirants à la direction. Un Éric Caire qui ne parle pas anglais pendant son discours, suivi d'un Christian Lévesque prudent et d'un Gilles Taillon aguerri aux discours publics. Le tout m'a laissé songeur.
Un chef adéquiste ne parlant pas anglais n'est pas l'idée du siècle. Bien que sympathique, l'inexpérience de Christian Lévesque pourrait le rattraper. Puis quant à Gilles Taillon, difficile de confier le Québec moderne à un homme aux allures des années 50...
Puis le discours enflammé de Gérard Deltell samedi m'est revenu à l'esprit: peut-être l'ADQ a-t-elle trois aspirants à la direction et déjà un chef!
Puis le discours enflammé de Gérard Deltell samedi m'est revenu à l'esprit: peut-être l'ADQ a-t-elle trois aspirants à la direction et déjà un chef!
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